- "C'est toute la force de cet artiste, nous inviter sans ambages dans un cheminement bien loin d'être balisé. C'est explorer le sauvage d'une humanité complexe. C'est toucher l'inexplicable, du bout du lobe."
- g.Bebie-Valerian
Artisan-musicien depuis 1989. Programmateur et organisateur de concerts depuis1991. Participe à quelques aventures musicales (Magic Mushrooms, Cry Babies, N.D.E.), organisationnelles (Hollow Produkts), initie et monte une salle de concerts (avec la fédération Hiéro : l'Astrolabe à Orléans). Montage de projets artistiques : concerts, expositions, conférences sonores, créations, festivals, tournées... Participe au collectif d'artistes H.A.K. depuis 2005. http://h.a.k.free.fr-
"Issu du rock et de l'industriel, je travaille depuis mon immersion dans les musiques électroniques et électroacoustiques, à développer des rencontres créatrices de formes multimédias.J’ai ainsi réécris des bandes-son de films (editées par HAK), réalisé des créations multimédias et des ciné-concerts (Zoviet Cosmos, Maya Deren, Gosses de Tokyo, Anthologie Surréaliste et Fantomas). Faire vivre la bande-son en concert, est un élément fondamental qui permet une maturation de celle-ci dans l’optique de la faire s’effacer devant le support images.Le champ d’action s’élargit depuis 2008 avec des collaborations renouvelées en arts plastiques, courts métrages et en 2010 en théâtre, avec une pièce montée par Gérald Dumont d’après James Hoog dont la bande sonore est actrice de la pièce. Et en tournée depuis janvier 2013, la bo pour l'adaptation des Eaux Lourdes, de Christian Siméon avec la compagnie Théâtre Charbon (un mois en Avignon pour le festival, deux mois a Paris en 2015). Une partie des concerts sont improvisés, avec des membres du collectif HAK, ainsi que Bérangère Maximin, David Fenech, Casperlectronics (usa), Kouhei Matsunaga (japon), Chuck Bettis (usa), Nicolas Dick, Julien Ottavi aka the Noiser, Paul Laurent, Georges Pennetier, Mathias Hubert... Je complète ces réalisations par des albums studio nommés B.O. imaginaires, bandes-son de films qui n’existent pas… ainsi que des improvisations électroniques et électroacoustiques, au fil des rencontres. 23 albums sortis à ce jour en témoignent sur des labels français et aussi belges, ukrainien, étatsuniens, anglais.
En concert, la musique des solos se composent de bases concretes, drones et noise, ambiantes et electroniques, mélangeant la froideur de l'urbanité avec des connotations ethniques, des références filmographiques, des samples révélant des fragments d'humanité, ou encore des résonances des lieux dans lesquels je joue. On peut comparer la forme à un film sans images, qui nous conduirait dans une succession de paysages, ou une architecture complexe composée de références décontextualisées, ayant perdues leurs identités afin d'en générer une perception renouvelée."
photo Sophie Carles ________________________
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Musician since 1989, in an craftsman way. Concert promoter since 1991.
Spent some times with Magic Mushrooms, Cry Babies, Near Death
Experience, organize concert as Hollow Produts in a DIY way, and a
collective organisation HIERO, and introduced a french venue, Astrolabe
in Orleans. Now also doing exhibitions, sounds conferences on music
history, program festivals. Produce works on HAK, diy record label,
since 2005. Worked also as music curator for EMMETROP, venue in
Bourges, and for RME, electroacoustic and electronic meeting in
Chartres . . .
Plays solo and with various formations according to the form of projects and meetings, including improvisation. Some achievements videos. Use the uptake, fieldrecording to create databases of original sounds, sampling, and the use of filters and micro sensors for generating atmospheres with organic tones. Music is a playground, a place of execution where everything must remain enabled. 23 albums issued, as well as soundtracks for video, theater and exhibitions.
In live appear an ambient noise-powerful music, the drones are full of concrete sounds, voices and complex instrumentations. We can compare the form as a film without images, that would lead us in a succession of landscapes, architecture editing sound full of references, decontextualized, having lost their identity in order to generate a new permanent training.
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